27 février 2010 : Dernières aventures mexicaines…

Samedi 27 février, nous continuons notre remontée vers le nord du Mexique.

Pour avoir encore une dernière fois l’occasion de profiter des eaux chaudes du Pacifique, nous faisons halte à la station balnéaire de Mazatlan.

Dés notre arrivée, nous sommes abasourdis par l’animation agitée de la ville et par son côté américanisé !

C’est en effet un endroit de villégiature prisé par les américains du nord, les canadiens et les québécois. Ils viennent ici à bord d’immenses bus aménagés ou de grosses caravanes tractées par d’énormes pick-up et se posent là, dans un des nombreux RV parks ( campings spéciaux pour camping car).

Certains trouvent une place en bord de mer, mais nombreux sont ceux qui s’entassent dans des campings en plein centre ville, avec vue sur le Mac Do ! Franchement, on n’a pas trop compris le pourquoi du comment alors qu’ici au Mexique il y a tellement d’endroits plus agréables pour passer ses vacances !!!

Nous n’allons donc pas “poser” à Mazatlan et après un rapide petit tour dans le vieux centre,

et une balade le long de la côte,

nous mettons les voiles…

Nous avons encore beaucoup de route à faire,

toujours cap au Nord,

c’est ainsi que nous franchissons une autre ligne emblématique, celle du Tropique du Cancer.

Sur la route, nous avons également droit à de nombreux barrages militaires. Ils luttent contre le trafic de drogues et d’armes. Notre véhicule attire souvent l’attention, mais c’est toujours avec beaucoup de sympathie que nous sommes “fouillés”. Cette fois ci, c’est la police anti-drogue qui se montrera la plus curieuse . 2 policiers démonterons même les lanterneaux de toit, soupçonnant l’existence d’un faux plafond ! Nous attendrons bien sagement qu’ils réussissent à tout remettre en ordre, car le système est un peu complexe et la moustiquaire enroulante leur pose quelques soucis !!! Ils n’iront pas plus loin dans leur vérification, sans doute un peu confus de leur zèle !

Mercredi soir, nous arrivons à EL Fuerte,

c’est d’ici que nous allons prendre une des plus belles lignes de chemin de fer au monde !

Nous laissons BEF en gardiennage à une charmante petite mamie qui habite juste en face de la gare, elle veillera bien sur lui pendant nos 3 jours d’escapade.

Jeudi 4 Mars 8h55 : le fameux Ferrocarril CHIHUAHUA AL PACIFICO entre en gare !

Nous prenons place à bord du train première classe, excessivement cher, mais aujourd’hui nous n’avons pas le choix, le seconde classe ne circule pas ! Et c’est parti pour 8h de voyage ! Les enfants en soupirent d’avance, Olivier prend place entre les wagons, à l’air libre, pour ne rien rater du spectacle, et moi j’attends avec impatience de voir se dérouler les fameux paysages époustouflants que l’on nous a promis !

Petit résumé sur cette ligne ferroviaire atypique. C’est la seule ligne ferroviaire mexicaine qui transporte des passagers. Inaugurée en 1961, cette ligne est avant tout une prouesse technique, pas moins de 86 tunnels et 37 ponts réalisés tout au long des 655 km qui relient la côte pacifique, à la montagnarde Chihuahua. Nous ne ferons qu’une partie de trajet, jusqu’à Creel.

Assis dans nos confortables fauteuils,

nous avons tout le loisir d’observer les ponts pour certains vertigineux

et de compter les tunnels.

Les arbres en fleurs tapissent les montagnes.

Parti du niveau de la mer, le train monte progressivement pour atteindre une altitude maximale de 2100m. Pour ce faire, il réalise à plusieurs reprises,

des boucles et emprunte des virages à 180°, nous serpentons donc autour de la sierra,

tantôt à flanc de montagne,

tantôt au fond d’un canyon.

Plus on avance sur le trajet et plus les visages des villageois se typent.

Nous arrivons dans les sierras Tarahumaras.

Après 4h de trajet, le train s’arrête un peu plus longtemps à Divisadero et tout le monde descend.

Arrêt ravitaillement pour les uns, les stands de tacos et comidas tipicas se logent tout près des rails et nous attirent comme des aimants, mais pas trop le temps de choisir, on engouffre une gorditas à la viande (délicieux ! ) et on fonce au mirador.

Et oui, ici nous sommes au coeur de La Barranca del Cobre ( le canyon du cuivre) et le panorama est assez impressionnant.

Environ 20 canyons s’entrecroisent et forment une succession de gouffres et de falaises. 9 de ces canyons seraient plus profonds que le célèbre Grand Canyon d’Arizona. Les 15 min sont écoulées, il nous faut remonter à bord.

Nous arrivons à Creel, notre destination, à 16h.

Sitôt débarqués, le froid nous surprend. Nous sommes à plus de 2000m d’altitude et le vent a un petit côté glacial. Les rabatteurs des hôtels nous embarquent dans un minibus et presque sans rien avoir demandé, nous nous retrouvons par faute de place, dans une petite cabanas aux faux airs de chalet de montagne !!! Pour une trentaine d’euros, nous avons notre petit chalet avec cheminée,

demi-pension incluse ! Nous avons juste prévu une journée sur place, nous allons donc sans tarder réserver une excursion pour le lendemain.

Chose promise aux enfants, chose due, nous optons pour 4 h de randonnée à cheval sur le territoire Tarahumara…

Vendredi matin, après un petit déjeuner mexicain typique ( œufs aux poivrons, galettes de maïs et purée de haricots secs ) nous allons rejoindre nos montures.

Et c’est parti pour 4h de chevauchée

dans les contrées sauvages et reculées des indiens Tarahumaras

Ce peuple continue à vivre selon ses anciennes coutumes,

habitant dans des grottes

ou des cabanes en bois.

Ils vivent de l’agriculture et de la vente de leur artisanat. Leurs visages sont durs et ils ne répondent pas à nos sourires, ni à nos saluts.

Ils ont clairement refusé le progrès et sont très peu nombreux à profiter du tourisme. Les paysages sont beaux et sur le dos de nos chevaux,

nous nous glissons en douceur dans ce paisible environnement.

Première halte dans la vallée des champignons, puis dans celle des grenouilles.

Nous faisons ensuite le tour du lac Arreko

et après 3h de cavalcade,

les premières douleurs se font ressentir !!! Nous ne sommes pas des cavaliers aguerris et pour nous, 4h sur un cheval c’est trop ! Nous mettons tous le pied à terre avec un soupir de soulagement, mais ravis quand même d’avoir choisi ce mode de “transport” grâce auquel nous pouvons si bien nous fondre dans le décor…

Samedi matin, nous prenons le bus pour mieux découvrir plusieurs points de vue sur le canyon du cuivre,

avant de rattraper le train du retour. Marie-Line et Jean-Yann, un jeune couple de québécois en voyage pour quelques mois, nous accompagne. Malheureusement le temps est couvert et le vent glacial bientôt accompagné de pluie vont nous gâcher le spectacle.

Des différents miradors, nous avons quand même une bonne idée de la profondeur des failles.

Il nous reste 2 heures à attendre avant l’arrivée du train, il fait froid, il pleut , alors nous trouvons un peu de réconfort auprès des poêles des vendeurs de tacos et gorditas.

Puisqu’il faut passer le temps, nous goûtons aux spécialités : Viande marinée, cactus mijoté, poivron pané et fourré au fromage, on a envie de tout dévorer !

Je le répète une fois encore :”on mange vraiment bien au Mexique !!!”

A 14h, enfin le train arrive,

cette fois c’est le classe économique,

qui n’a pas grand chose à envier au première classe et qui est 3 fois moins cher !

Nous arrivons à El Fuerte vers 20h.

Belle escapade que ce voyage en train, sensation d’être allés dans le Mexique profond, sauvage et d’en avoir découvert encore un autre visage.

Notre ultime destination au Mexique est La Baja California. Cette longue péninsule de plus de 1300km est séparée du reste du Mexique par le Golfe de Californie. Pour l’atteindre, le ferry s’impose. Nous embarquons donc à Topolobampo

à bord du Baja ferries en ce dimanche 7 mars . La traversée se fera de nuit,

nous prenons une cabine et dormons comme des bébés .

Lundi matin,

nous posons le pied en Baja à 6h00 du matin. Pour sortir du port, nous avons droit à une fouille conséquente du camping car, toujours pour la drogue et les armes.

Notre port d’arrivée est La Paz,

c’est la deuxième plus grande ville de la péninsule. Nous ne nous y attardons pas, après quelques courses, nous filons vers notre premier bivouac de rêve, la plage de Tecolote.

Nous retrouvons une mer turquoise, des étendues de sable clair,

et surtout un côté “sauvage” qui commençait à nous manquer!

Malgré la présence de quelques camping car américains, la plage est suffisamment grande pour que chacun y trouve son petit coin de paradis.

Premier jour un peu venteux, nous nous baladons sur la plage,

Olivier mitraille, les enfants dénichent des trésors…

La longue plage est coincée entre une mer sublime et des colines de cactus.

Une fois de plus, notre petite maison posée, nous avons un jardin sensationnel !!!

Nous profitons d’une autre journée sur cette belle plage, ayant même le loisir de voir sauter une baleine au loin.

Mercredi, nous continuons notre exploration de cette petite bande de terre arride,

bordée d’un côté par le Pacifique et de l’autre par le Golfe de Californie. Les paysages de toute beauté se succèdent, la route est souvent longue et droite,

nous ne traversons que peu de villages

et l’expression “être seuls au monde” prend ici tout son sens.

A Bahia Concepcion,

nous longeons des baies magnifiques,

sauvages,

des petites bandes de sable blanc se jettent dans l’eau limpide. Le long de ces belles plages, nous trouvons ça et là des regroupements de camping car américains qui profitent de ces petits coins de paradis en toute liberté.

Le vent souffle toujours et nous prive de baignade.

Au fil de la route,

nous nous arrêtons au petit village de Santa Rosalia,

construit par une compagnie française, et au milieu duquel, trône une église conçue par notre bon vieux Gustave Eiffel.

L’église a été construite en France, puis démontée pour être assemblée ici.

Nous traversons ensuite le Désert de Vizcaino,

dont le sol est tapissé d’une multitude de fleurs.

Petit bivouac

dans la palmeraie de San Ignacio,

un autre petit village

qui possède une ancienne mission.

Samedi 13 mars, nous arrivons à Guerrero Negro.

Ici, dans cette réserve protégée, se rassemblent chaque hiver, des centaines de baleines grises qui descendent de l’Arctique pour venir mettre au monde leurs petits dans les eaux chaudes de la Baja. La région est désertique,

les salines s’étendent au milieu des dunes et façonnent un décor très photogénique.

Pour rejoindre la laguna ojo de liebre , un des points de départ des expéditions “baleines”, nous empruntons une piste d’une vingtaine de km au milieu de nulle part,

mais que ce “nulle part” est beau !!!

On se réjouit après 16 mois de voyage, après avoir vu tant de belles choses d’être toujours aussi sensibles et attentifs aux merveilles de la nature. Nous arrivons enfin au centre d’information et à notre plus grande surprise, nous y trouvons un bivouac tout confort .

Dimanche 14, malgré un vent assez fort, nous décidons de partir en bateau à la rencontre des baleines. C’est notre troisième rendez-vous avec ces animaux, mais ici en Baja, se produit un phénomène unique au monde auquel nous avons fortement envie de participer. En effet, certains baleineaux se montrent plus curieux que d’autres et viennent jouer près des embarcations allant même pour certains, jusqu’à se faire caresser… Nous montons donc dans une petite barque motorisée, nous sommes 4 à bord,

cela ressemble à une excursion privée ! Le pilote met les gaz et nous allons plus au large. Les jets de baleines se font bientôt voir de tous les côtés,

elles sont bien là, évoluant tranquillement avec leur petit.

Nous essayons de nous approcher un peu plus des couples que forment les mères et leur petit, mais cela semblent les gêner et tous les 2 plongent plus profondément. Pour l’instant, ce sont les dauphins qui viennent jouer à côté du bateau et ce n’est déjà pas si mal…

Nous apercevons d’autres barques chargées de touristes qui sont plus chanceux que nous et ont trouvé un baleineau câlin.

Notre pilote nous emmène un peu plus loin et nous suivons d’autres spécimens.

C’est toujours incroyablement impressionnant de voir ces géants évolués si paisiblement. La baleine grise adulte mesure entre 15 et 20 m, les petits de 2 mois mesurent déjà 7m et pèsent plusieurs tonnes !

Nous suivons un autre duo mère-enfant et bientôt le petit va venir à notre rencontre,

mais il n’ira pas jusqu’à se faire caresser.

Les enfants sont déçus, mais ne désespèrent pas, nous poursuivons l’expédition …

Le même baleineau va revenir et cette fois,

il sortira suffisamment haut sa tête pour que l’on puisse le toucher et au moment où il nous regarde, le temps s’arrête…

L’instant est à jamais gravé dans nos mémoires, nous avons caressé un bébé baleine, c’est tout simplement magique.

Nous sommes tous surpris par la douceur de sa peau. Mais maman baleine ne tarde pas à rappeler à l’ordre son petit qui part la rejoindre. Nous les suivons encore un petit moment et le jeune curieux revient vers nous pour jouer encore un peu, re-caresses et re-bonheur !

Nous rentrons à l’embarcadère sur un petit nuage,

conscients d’avoir vécus un nouveau moment fort de notre voyage !

Nous reprenons la route, toujours cap au Nord.

Nous nous approchons de la frontière américaine, plus que 600km… Nous traversons une autre réserve protégée de la Baja, la Vallée de Los Cirios dans laquelle se dressent différentes variétés de cactus.

Les arrêts photos se succèdent,

la lumière se prête magnifiquement bien aux clichés

et les cactus sont du genre photogénique.

Mardi 16 mars, dernière étape proche d’Ensenada,

nous allons y voir la Bufadora,

le deuxième plus grand geyser marin du monde.

Nous restons un bon moment à regarder les jets plus ou moins importants provenant du trou coincé dans les rochers en contrebas.

Pour notre dernier bivouac mexicain, nous trouvons un “perchoir” dominant le Pacifique,

endroit idéal pour siroter une dernière cerveza en admirant le soleil plongé dans l’immensité de l’océan…

Mercredi 17, un mélange d’excitation et d’appréhension se fait ressentir à la vue de la frontière américaine. C’est toujours le cas lorsque l’on quitte un pays où l’on a passé un certain temps et dans lequel on s’est senti en parfaite harmonie, il faut changer ses repères, ses habitudes, pour s’adapter au nouveau pays que l’on va visiter. Mais les USA, c’est un peu différent, d’abord il y a la langue, même si nos connaissances en anglais ne sont pas trop mauvaises, nous baignons dans la langue espagnole depuis plus de 16 mois et l’accent américain est quand même particulier! Et puis, il y a les américains, leurs façons de vivre, leurs lois strictes, alors fini la liberté ???

Trop tôt pour le dire…

Première chose, réussir à entrer sur le territoire, nous laissons donc de côté la trépidante ville frontière de Tijuana pour le poste frontalier plus paisible de Tecate.

Sitôt passés le portillon, nous avons l’impression d’être entrés dans une série TV avec les bons rangers ! Nous craignons une fouille longue et minutieuse, mais il n’en sera rien. Par contre, nous n’avons pas rempli le formulaire préalable à tout séjour sur le sol américain et cela pose quelques problèmes. Dociles et aimables, nous suivons le douanier dans sa guérite. Nous lui exhibons fièrement nos visas, mais cela n’est pas suffisant. Le problème va être de leur prouver que nous avons bien l’intention de rentrer en France et de ne pas nous installer ici, car nous n’avons aucune preuve de ce que nous avançons. Pas de billets retour, pas de réservation de bateau… rien ! En plus, comble de la négligence, nous n’avons aucune adresse d’amis aux US !!! La situation semble s’enliser, le douanier fort sympathique du reste, ira même jusqu’à nous demander nos cartes de crédit, pour vérifier que nous sommes bien solvables ! Dans un dernier geste d’impuissance, il va chercher son chef, trop inquiet de faire une grave erreur en laissant entrer sur son territoire, une famille de vagabonds…

The boss arrive alors, beaucoup moins sympa, n’hésitant pas à bien nous faire répéter plusieurs fois chacune de nos questions et réponses (quoi, notre accent serait-il si mauvais ???). Après 3 quarts d’heure de blabla, de prises d’empreintes et de photos, nous obtenons enfin le fameux sésame, le tampon qui nous autorise 6 mois sur le sol américain !

Nous remercions humblement le douanier de sa faveur et c’est parti pour de nouvelles aventures…on the road again !

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14 réflexions au sujet de « 27 février 2010 : Dernières aventures mexicaines… »

  1. Simone HIVERT

    Encore Bravo et comme je comprends votre petit pincement au cœur de quitter ce beau pays qu’est le Mexique… mais comme vous le dites, vous arrivez encore à vous émerveiller devant les beautés de la nature et je suis certaine que vous pourrez encore avoir des coups de cœur fabuleux pour les Etats Unis. Un pays plein de contrastes humains et paysager.
    Bonne route et continuez à admirer et à nous régaler.
    Bisous.

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  2. FERNANDEZ

    C’est toujours un plaisir de lire votre récit, vous vivez vraiment des aventures extraordinaires.Bon séjour aux Etats Unis. Bisous

    Répondre
  3. Laurent

    Coucou franchement j’en ai des frissons pour vous , de voir et d’imaginer tout ce que vous pouvez vivre me rempli de joie. J’aurai tant aimer venir également vous rejoindre mais je pense pas que se soit possible. En tout cas mon coeur et avec vous. Je vous embrasse.

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  4. Marie-Pierre

    Bonne continuation sur le sol américain! Des parcs nationaux et de très beaux paysages vous attendent aussi…..Au plaisir de vous lire!!!
    Marie-Pierre

    Répondre
  5. Marjorie et Arnaud Blanchard

    Quelle emotion avec les baleines…j’en ai eu les larmes aux yeux…Vraiment très exitant…
    Vos photos sont toujours aussi magnifiques…et c’est vraiment un plaisir de vous lire…
    Profitez bien…De grosses bises
    Marjo
    ps : 1ere choré terminée hier soir pour le Gala de Juin!!! Yessss!!!

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  6. Karine Laurent

    Merci encore et toujours pour vos récits touchants et vos photos magnifiques. J’en ai eu les larmes aux yeux en vous voyant caresser le baleineau … Votre voyage sera vraiment un exemple et une trame à suivre pour notre voyage à venir.
    Votre optimisme à toutes épreuves aussi …
    Bonne découverte des Etats-Unis.
    Famille Laurent

    Répondre
  7. vero

    Je vous lis à chaque fois avec un immense plaisir…je dévore les articles comme un carnet de voyage qui à chaque fois m’emporte au delà de mon quotidien…
    tout simplement génial…quelle aventure humaine pour vous 4….prenez soin de vous.
    Véro

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  8. laine

    un petit moment de depaysement ds notre train train quotidien. La rencontre avec les baleines : tout simplement genial! Les photos extras et la bouille des enfants en dit lon sur le plaisir qu’ils ont afaire ce periple avec vous! Si vous avez un souci pr l accent americain je peux vs aider ce sera avce joie que je ferai votre interprete. Bonne continuation et mille bisous a vs 4. Prenez soin de vous. Amities les Laine

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  9. Seb & Coco

    Magnifique le moment avec les baleineaux mais comment allez vous faire pour vous acclimater de nouveaux à MEZ CITY.

    Bisous et au plaisir de vous revoir.
    SEB & COCO

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  10. monique lefebvre

    coucou
    super le trains, les peuples, le geysers et le coocoonage avec les baleineaux
    si vous avez besoin d’une adresse je peux vous en avoir une dites le moi. J’ai un copain qui s’est installé là bas travaille est marié et papa.
    ON PENSE A VOUS
    c’est vrai que sur ce que vous nous montrez dans ce mail j’aurais bien fait le bout de route avec vous
    le train es baleines trop de la balle comme disent les jeunes

    Répondre
  11. monique lefebvre

    coucou
    super le trains, les peuples, le geysers et le coocoonage avec les baleineaux
    si vous avez besoin d’une adresse je peux vous en avoir une dites le moi. J’ai un copain qui s’est installé là bas travaille est marié et papa.
    ON PENSE A VOUS
    c’est vrai que sur ce que vous nous montrez dans ce mail j’aurais bien fait le bout de route avec vous
    le train es baleines trop de la balle comme disent les jeunes

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  12. avenel maurice

    C’est toujours avec plaisir et intéret que je vous suis en pensée.En plus du spectacle de vos découvertes,j’admire votre courage et votre sens de l’organisation,quelqun a dit(tout est une question d’organisation) »Bravo et grosses bisesJe me remets de ma chute trois cotes fracturées et non facturées OUILLE OUILLE ?, Papymo

    Répondre
  13. nato

    C’est vrai qu’on mange trop bien au Mexique !!! Savoir que vous aussi avez quitté ce pays si attachant me rend nostalgique. Mais c’est la dernière ligne droite et je suis certaine qu’aux USA vous saurez trouver le « Beau » et surtout nous le montrer. Le Meriguet Tour rend la vie plus belle !!
    bises
    ps : on récupère vos prochains « coloc » demain soir et on vous les expédie vendredi au petit matin !!
    Nath et Rémi

    Répondre

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